Minou

Hcool36, si c'est un tiers qui vous a rasée avec autant de soin, j'en suis jalouse. Au gré de mes rencontres amoureuses, exclusivement féminines, j'insiste pour le faire moi même auprès de celles qui ne souhaitent pas conserver ne serait ce qu'une toison clairsemée. C'est un moment voluptueux !!!
D'abors étendue sur le dos, ma "patiente", les pieds posés à plat sur le lit, jambes fléchies presque jointes, laisse docilement mes mains se poser sur ses genoux pour les écarter délicatement jusqu'à ce qu'elles reposent à plat sur le lit, largement séparées. Chez certaines, malgré un feuillage parfois dense, l'émotion procurée par ce rituel, amène les grandes lèvres à laisser s'échapper entre elles l'extrémité des nymphes. Quel délice de voir le désir les gagner progressivement !!!
En tirant sur chacun des brins du pubis pincés entre les doigts d'une main pour les déméler, on les coupe avec l'autre main tenant une petite paire de ciseaux posée à plat sur la peau. Ensuite, on descend a l'intérieur de chaque cuisse pour élaguer de part et d'autre des grandes lèvres qui finissent par se découvrir. Désormais débarassée de son épais feuillage, la peau est alors assez dégagée pour qu'on lui applique une crème hydratante de préférence mentholée, dont la sensation de fraîcheur procurée fait gonfler et rougir les grandes lèvres. En commencant par masser délicatement et abondamment le mont de vénus, les premiers soupirs apparaissent chez la patiente en même temps que je suis saisie de légers tremblements que j'essaie de contrôler autant que possible. Ensuite simultanément, mes deux mains plongent à l'intérieur de chacune des cuisses pour appliquer généreusement la crème. En se rejoignant à la jonction des grandes lèvres désormais gonflées et rougies, l'extrémité des doigts de mes deux mains s'insinue à peine entre elles pour y déposer un soupçon de crème qui, en se mêlant à d'abondantes sécrétions, produit une mousse ontueuse.
On peut désormais commencer à raser le mont de vénus à l'aide d'un rasoir jetable dont il est necessaire de fréquement débarasser la lame de nombreux poils. A chaque passage de la lame, la mousse mêlée aux poils pubiens est retirée pour laisser la peau presque lisse sur laquelle Il faut par endroits tirer, pincer, et appuyer pour offrir a la lame une surface plate qui lui permette de retirer le moindre poil rebelle. Une fois le pubis parfaitement lisse, il est souvent necessaire d'écarter davantage les jambes de la "cliente", ce qu'elle fait fort docilement pour poser le rasoir à l'intérieur des cuisses et le diriger vers les grandes levres, jusqu'à leur jonction en les pinçant entre le pouce et l'index de l'autre main afin de les étirer comme pour les rallonger et permettre à la lame de n'epargner aucun poil.
Il ne faut pas non plus oublier les quelques poils clairsemés présents du périnée jusqu'à la naissance des grandes lèvres. Il convient alors de demander à la patiente d'être allongée, la plante des pieds posés à plat, les jambes largement fléchies afin de relever les fesses et permettre à la lame d'accéder à toute la zone.
Essuyer àvec une serviette ce qui reste de mousse permet de voir les endroits où quelques poils demeurent encore. On peut alors traîter localement pour parfaire le rasage. Souvent, sur le bord des grandes lèvres, à l'intérieur, quelques poils subsistent. En posant le pouce et l'index, idéatement placés sur le bord de chacune, on peut les séparer très largement pour qu'avec l'autre main le rasoir puisse couper les derniers brins restant. Le vestibule où la cyprine s'est combinée à la mousse à raser présente quelques bulles et offre une vision délicieuse. La encore, la serviette permet d'éponger. Pour les "finitions", il suffit de passer la paume de la main sur la totalité de la vulve pour éventuellement agir localement. Tellement voluptueuse est l'opération qui consiste à séparer les grandes lèvres, les écarter le plus largement possible, à les ramener vers le pubis pour traquer les derniers brins rebelles. Lors de cette dernière vérification, on arrive parfois chez certaines, à découvrir le gland du clitoris qu'on n'hésite pas à effleurer, en provoquant un léger sursaut ...
Quelle merveilleuse et neccessaire opération d'entretien que je ne laisserais à aucune autre le soin de s'en charger à ma place !!!
Nathalie

Hummmm j aimerai bien jouer avec y glisser ma langue et te faire jouir

Bonjour ce petit abricot donne envie de croquer dedans. Au plaisir.